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LE JUDO, son​​​​​​​​​​​ histoire
   

Jigoro KANO posa en 1882 les principes fondateurs d’une nouvelle discipline : le Judo, littéralement « voie de la souplesse ».

En proposant un développement physique, moral et spirituel, le Judo permet aux judokas de s’épanouir en harmonie avec eux-mêmes et surtout avec les autres. Il se compose pour l'essentiel de techniques de projection, de contrôle au sol, d'étranglements, de clefs de bras, et de clés de jambes.
En France, le judo apparaît dans les années trente, mais se développe surtout après la deuxième guerre mondiale sous l’impulsion de Maître KAWAISHI et de Paul BONET-MAURY, président-fondateur de la Fédération Française de Judo en décembre 1946.​​​​

Il franchit en 2003 le cap des 580 000 licenciés, et place la FFJDA comme la

3ème fédération « olympique » en France.

A partir des années 60, le courant sportif devient dominant. Le judo est inscrit au programme des Jeux Olympiques de Tokyo en 1964.

                  LE CODE MORAL

​Le Judo véhicule des valeurs fondamentales qui s'imbriquent les unes dans les autres pour édifier une formation morale. Le respect de ce code la condition première, la base de la pratique du Judo.

Ce principe suggère l’application à tout problème de la solution la plus pertinente : agir juste au bon moment, utiliser la force et les intentions du partenaire contre lui-même.
Il incite à une recherche constante et dynamique de perfection.

Entraide et Prospérité mutuelle:

En Judo, les progrès individuels passent par l’entraide et

​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​par l’union de notre force et de celle des autres.

La présence du partenaire, du groupe est nécessaire et bénéfique à la progression de chacun.

Le grade du judoka est représenté par une triple valeur :

« SHIN », correspondant à la valeur morale,

« GHI », valeur technique,
« TAI », valeur corporelle.
Le « SHIN », cité en premier, donne seul le sens aux deux autres.

 

 

 

 

 

Les grades sont attribués à un pratiquant, permettant d’évaluer son niveau technique, son efficacité en combat, son degré d’ancienneté ainsi que ses qualités morales. On trouve dans l’ordre les ceintures: blanche, jaune, orange, verte, bleue, marron, noire. Il existe également les                  « demi-ceintures », utilisées en France, pour marquer la progression des jeunes judokas . Les ceintures de couleur  correspondent à des grades nommés kyu : le 6e kyu est représenté par la ceinture blanche jusqu’au 1er kyu par la ceinture marron.

Il existe plusieurs niveaux au-dessus des kyu, nommés dan : du 1er dan au 5e dan, la ceinture est noire ; les 6e dan et 7e dan sont représentés par une ceinture à bandes larges rouges et blanches alternées, les 8e dan et 9e dan par une ceinture rouge, le 10e dan est quant à lui représenté par une ceinture blanche fine et large. A ce jour ce grade n'a été atteind "que" par 15 judokas dans le monde.

               LES GRADES
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